Ie laisse plusieurs choses dans cette tablature qui appartiennent à l’Epinette, par exemple que l’on en peut mettre deux ou trois sur vne mesme table; qu’on les peut faire descendre aussi bas que les plus grosses pedales de l’ orgue : que la diuision du ton, ou de l’Octaue en douze demy-tons esgaux ne peut seruir à cet instrument, à raison que son accord depend de la seule tension des chordes, & se iuge par l’oreille, sans que la veuë ou le toucher y puissent remedier, si ce n’est que l’on suppose des chordes tres esgales & inalterables, & que l’on vse de poids pour les tendre suiuant les proportions harmoniques dont i’ay parlé dans la tablature des sourds […]
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