PROPOSITION XXV [XXVI]. Expliquer la figure, l'accord, l'estenduë, la Tablature, & l'vsage du Psalterion. Il est souuent parlé dans l'Escriture saincte de cet instrument, que les Hebrieux appellent נֵבֶל nebel, mais nous ne sçauons pas la forme qu'il leur donnoient, ny le nombre de ses chordes : car encore que le Decachorde precede le Psalterion, & qu'il semble qu'il luy serue d'epithete, neantmoins plusieurs croyent que ce sont deux instrumens differents. Quoy qu'il en soit, cette figure represente celuy dont on vse maintenant, sur lequel on met treize rangs de chordes, dont chacun à deux chordes à l'vnisson ou à l'Octaue, ausquelles on en pourroit adiouster d'autres à la Quinte, & à la Quinziesme pour augmenter l'harmonie. Sa figure triangulaire G H K C monstre vn triangle tronqué, lequel on peut faire equilateral ou isoscele, ou de telle autre maniere que l'on voudra. Les nombres qui vont en montant signifient les 13 rangs des chordes, qui en contiennent 26. Leur accord est marqué par les lettres de la Gamme, qui sont à main gauche, dont la premiere signifie le G re sol, qui est plus bas d'vne Quarte que la seconde lettre C, afin que le second G re sol ayt son Octaue en bas. Mais les autres lettres se suiuent par degrez conioints, & monstrent les sons & les interualles de chaque chorde, comme l'on void dans la table qui suit, laquelle monstre la iustesse de tous les degrez, & des interualles tant consonans que dissonans.
PROPOSITION X [VIII]. Expliquer la figure, l'accord & l'vsage de la Lyre. La figure de la Lyre est fort peu differente de celle de la Viole, neantmoins son manche, & la touche du manche est beaucoup plus large, d'autant qu'elle est couuerte de quinze chordes, dont les 6 premieres ne font que trois rangs, & si l'on veut doubler chaque rang, comme l'on fait sur le Luth, l'on aura 22 chordes. L'on met les deux plus grosses hors du manche, comme l'on void depuis H iusques à K ; & le petit manche H I est adiousté pour les bander. Il n'est pas besoin d'auertir que l'on peut adiouster vn second manche semblable au second des Tuorbes, pour y mettre tant de Basses que l'on voudra, puis que cela se pratique desia sur les Violes. Il faut encore remarquer que le cheualet K L est plus long, plus bas, & plus plat que celuy des Violes, parce qu'il porte vne plus grande multitude de chordes, dont il en faut toucher trois ou quatre en mesme temps d'vn mesme coup d'archet, afin de faire des accords. Or le son de la Lyre est fort languissant & propre pour exciter à la deuotion, & pour faire rentrer l'esprit dans soy-mesme ; l'on en vse pour accompagner la voix & les recits. Quant à son accord, il n'est pas si difficile comme plusieurs se l'imaginent, [p205] quoy qu'il soit fort considerable & extraordinaire, comme l'on void aux notes qui suiuent, dont chacune respond à chaque chorde, encore que l'on puisse l'accorder comme les Violes, & en plusieurs autres manieres ; quoy qu'il en soit, il suffit d'expliquer icy l'accord dont on peut vser en touchant la Lyre, lequel est representé par la figure A D E G : les sept lettres qui sont à costé du manche à sçauoir b, c, d, e, f, g, & h representent les sept touches. B est le lieu du sillet : Q & R monstrent les 2 ouyes, & N O M la queuë, à laquelle on attache les chordes, & qui est attachée auec la cheuille de bois M E. L'espaisseur qui est fort grande est representée par G E F. Quant au manche & à ses cheuilles, on les fait de telle forme que l'on veut, aussi bien que la table & les autres parties ; car il n'importe nullement pourueu que la Lyre & les autres instrumens ayent vne bonne harmonie.
PROPOSITION XIII [XI]. Expliquer les nouueaux instrumens à chordes, & l'accord de la Lyre dont on vse en Italie. Il est certain que l'on peut tousiours adiouster de nouuelles inuentions aux instrumens, & que les siecles à venir en pourront auoir qui ne sont pas encore tombez en l'imagination des Facteurs : par exemple, on peut faire des Clauecins qui auront tous les tons diuisez en quatre parties, pour faire les dieses Enharmoniques par tout, suiuant le Systeme que i'explique dans le liure des Genres : de sorte que le mesme clauier seruira pour autant de tuyaux d'Orgue, qui feront vne Fluste douce, & qui accompagneront chaque chorde. Et l'on m'a escrit de Rome que le sieur Iean Baptiste de Bonis de Cortone, ville de Toscane, en fait d'excellens, qui ont toutes les touches brisées ou [p216] coupées, & que l'on accorde auec vne admirable facilité en toutes sortes de manieres que l'on peut s'imaginer. L'on m'a aussi aduerty que la Harpe à trois rangs a esté inuentée il y a trente ou quarante ans par le sieur Luc Anthoine Eustache Gentil-homme Neapolitain, & Chambrier du Pape Paul V : & que le sieur Horace Michi a mis cet instrument à sa perfection, dont il ioüe tres-excellemment […]
Il faut seulement remarquer que le Diapason des Flageollets ne suit pas celuy des chordes, ny celuy des tuyaux d'Orgues, comme ie monstreray apres, car il suffit d'expliquer icy son estenduë & sa tablature, que le Vacher, qui est le plus excellent Facteur de Flageollets que nous ayons, marque en cette maniere. Par où l'on void que l'on peut vser des notes de la Musique pour marquer les tons, l'estenduë, & les chansons du Flageollet, d'autant qu'elles seruent de tablature vniuerselle pour toutes sortes d'instrumens, comme i'ay monstré dans le liure precedent. [p233] Or les deux premieres lignes contiennent la tablature du Flageollet par ♮ quarre, & les deux dernieres par ♭ mol : mais les quinze dernieres notes, & les quinze rangs des autres caracteres qui leur respondent, suffisent pour expliquer ladite tablature, & l'estenduë de cet instrument, qui consiste dans vne Quinziesme, qui est contenuë par les quinze notes, encore que i'aye mis les dix precedentes, afin d'obseruer la pratique de ceux qui enseignent à ioüer du Flageollet, qui commencent par le G re sol en touchant seulement les trois derniers trous six, cinq & quatre, & en laissant les trois autres ouuerts trois, deux & vn ; & qui mettent les deux dieses que l'on void à la premiere ligne des notes, pour signifier qu'elles se chantent par ♮ quarre, encore qu'elles soient superfluës pour ceux qui entendent la pratique des notes, dans laquelle la seule absence du ♭ mol signifie le ♮ quarre. Mais cette tablature est si aysée, à raison que toutes les regles qui ont des zero, ou qui n'ont point de petites lignes perpendiculaires, signifient que l'on doit ouurir les trous qui respondent à ces lignes, qu'il n'est pas besoin de l'expliquer. Ie donneray seulement vn exemple pour en monstrer la pratique. Si l'on veut faire le ton plus graue, ou le plus bas du Flageollet, qui est marqué par la derniere note, & par le dernier rang des petites lignes, ce rang enseigne qu'il faut boucher les six trous, qui sont representez par les six regles, & qu'il faut boucher le trou de la pate à demy : ce qui est signifié par la ligne qui trauerse le dernier zero : ce que l'on entendra encore mieux par le discours qui suit, d'autant qu'il enseigne la maniere de sonner du Flageollet.
Quant à l'estenduë & à la tablature de cette Fluste [Fluste d'Allemand], qui peut seruir pour le Fifre, qui luy est entierement semblable, ie l'ay mise par des cercles blancs & noirs, afin de retenir celle qui est en vsage, ce qui n'empesche nullement que l'on ne la puisse marquer auec les petites lignes de la tablature de la Fluste à neuf trous, ou de telle autre maniere que l'on voudra. Or i'ay mis chaque rond vis à vis de chaque trou, afin que l'on sçache les trous qu'il faut boucher ou deboucher pour faire les sons marquez par les notes qui sont dessus, dont chacune respond à chaque rang de cercles, qui monstrent que tous les trous estant bouchez elle fait la plus basse note, à sçauoir l'VT de G re sol vt, & le [p242] RE qui suit en debouchant le sixiesme trou, & ainsi des autres iusques au 19. son, qui se fait en ouurant seulement le troisiesme trou, car elle a vne Dix-neufiesme d'estenduë, comme l'on void par les notes de la Musique. Si cette Fluste suiuoit la precedente dans ses mouuemens, il ne seroit pas necessaire de fermer tous ses trous excepté le premier, pour faire l'Octaue, car tous ses trous estant ouuerts monteroient à ladite Octaue, quoy qu'il soit difficile de donner la vraye raison de cette difference, & des autres qui se rencontrent entre cette tablature & les precedentes. [Tablature & Estenduë de la Fluste d'Allemand].
Les deux autres rangs de chordes ne paroissent pas aussi entortillez aux 2 & 3. rang des cheuilles du clauier, afin d'euiter l'embarras & la confusion des chordes, dont il n'y a icy que deux rangées, à sçauoir les ordinaires des simples Harpes, dont chaque ton n'est pas diuisé en deux demy-tons, lesquelles sont entortillées au premier rang des cheuilles, par le bout β, qui est rond, & [p170] qui est percé d'vn petit trou, par lequel on passe la chorde, de peur qu'elle n'eschappe, comme l'on fait aux cheuilles du Luth, & des autres instrumens. Les quatre pans de bois qui sont entre E & H, monstrent la moitié du corps exterieur, sur lequel la table est posée, & consequemment signifient qu'il est composé de huict pans, quoy que l'on le puisse faire rond, ou de telle autre figure que l'on voudra. F & G monstrent les ouyes, qui sont faites en forme de treffle. Or il y a 29 chordes dans ce premier rang, lesquelles font 4 Octaues entieres, comme celles de l'Epinette ; de sorte que l'on peut dire que la Harpe est vne Epinette renuersée, à laquelle l'on peut accommoder vn clauier semblable à celuy du Clauecin, afin de la faire seruir d'Epinette, comme font quelques Italiens, qui la nomment Graue-cymbale, & d'imiter l'Epigone d'Ambraciotte, ou le Simice, dont Vincent Galilée donne les figures à la 40, & 41. pages de ses Dialogues de la Musique.
V como diçen que fueron las çentonas de las obras del çiego omero que llamavan rapsodia que como yva cantando los bersos de su yliada y odisea los pusieron despues por la mejor orden que pudieron.
En el canto llano vsamos seys señales. La primera se llama claue, y son dos. Vna tiene tres puntos en esta figura [D1], y se llama comunmente claue de ffaut. Otra claue tiene dos puntos, y se figura en esta manera [D6]: la qual se dize de csolfaut. [fol vijv] Por estas dos claues se rige todo el canto llano. La linea en que estuuiere asentada la primera claue, es ffaut: y donde estuuiere la segunda claue, sera csolfaut. La segunda señal es cinco reglas. Para mayor facilidad pusieron el canto llano en cinco reglas: el qual solia estar en vna Suelen poner la claue comunmente en la regla de en medio: y si ay necessidad de mudarla de la dicha regla: deue ser puesta en vna de las mas cercanas a esta de en medio. La tercera señal es los puntos. Para subir y baxar en el canto: inuentaron los puntos. Aun que con diuersas figuras en canto llano sean señalados: todos tienen vn mesmo valor, excepto el que tiene dos plicas, que ha d[e] valor dos compases. Plica llamo vn rasgo que d[e]sciende del punto. Unas vezes esta plica a la mano derecha, y otras a la yzquierda del punto: pero siempre descendiente en canto llano. Es la quarta señal vnas rayas puestas entre los puntos, y se llaman virgulas: las quales diuiden las partes. Entre virgula y virgula suele estar vna parte. La quinta se dize guion, y se pone en fin de todos los renglones: la qual enseña en que signo esta el punto en el siguiente renglon. La vltima señal es para saber quando haremos bquadrado, o bmol. Quando viene vn punto, que puede ser la vna, o la otra propriedad: quitase toda duda con la señal. La señal de b quadrado se pone con esta figura [C4] y la de bmol es vna [C1] [fviij] pequeña. Todas estas seys señales hallareys en la figura superior debaxo la B.
En la Musica ay una señales que se llama[n] claves. Esta palabra clavis en latin quiere dezir llave en romance. Pues llamanse estas señales claves (que es locucion , o habla metaphorica) porque abren y cierran las puertas con este instrumento aßi abren la intelligencia, y cierran la ygnorancia del canto con las dichas claves […] Esto me mueve a dezir, lo que en alguna musica extrangera viene. En lugar de la claue de Ffaut ponen algunos estrangeros vna.3. que vale tres en guarismos: y otras vezes dos puntillos y vn rasgo, que tambien son tres. La primera que tiene tres puntos (en esta forma se llama clave de Ffaut, ternaria, y de algunos es dicha de bemol: la otra (que se pone con dos puntos en la manera siguie[n]te es dicha de csolfaut, binaria, y de natura.
Muchas vezes hallareys al principio de las cifras el tiempo porque se tañen: y quando no estuuiere, fue descuydo del tra[n]sumptador […] Ay vnos puntillos que guian las cifras: los quales dizen, que las tales cifras aßi guiadas han de dar junctas, y las otras que estuuieren apartadas, cada vna por si. En esto mire mucho el nueuo cifrador, que todos los pu[n]tos que da[n] junctos, las cifras a ellos correspondientes se ponga[n] vnas enfrente de otras. Hallareys unas rayas, o virgulas que atrauießan las dichas seys cuerdas: las quales no sirue[n] de otra cosa, sino de diuidir los compases. En esta diuision cognoscereys (viendo qua[n]tas cifras ay en tal repartimiento o diuision) que valor tiene cada cifra. Hallareys algunas vezes dos rasgos, que ocupan dos spacios: y son repeticion de villa[n]cico, o chançoneta.
Usaße mas unos rasgos, que salen de los puntos, y se llaman plicas: los quales se ponen unas vezes por hermosear lo puntado, y otras por neceßidad. Toda ligadura tiene una plica. Si abaxa, la terna el punto primero: y si sube, el ultimo.
Los theoricos establecieron que la claue de Ffaut / tuuiesse tres puntos: y la de csolfaut dos. La cau / sa de esto fue. Porq[ue] desde vn signo a otro donde es / tas dos claues en canto llano vsables estan situa / das, ay vn diapente de tres tonos y vn semitono / cantable, y para señalar la dicha distancia causada / de proporcion sesquialtera: pusieron la claue infe / rior de tres puntos, y la superior de dos. Esto me / mueue a decir, lo que en alguna Musica estrange / ra viene. En lugar de la claue de Ffaut ponen algu / nos estrangeros vna 3. que vale tres: y otras ve / zes dos puntillos y vn rasgo, que tambie[n] son tres.
Conoscimiento de los seculoru[m] de antiphonas en vna regla. capitulo xxxv. Todo seculoru[m] de antiphonas començara tres/o quatro pu[n]tos encima de la regla. Si tres distingo/ o el tal seculorum sube primero que baxa/ o baxa primero que sube. si primero sube que baxa. tal seculorum sera quinto o septimo. Estos se conosceran: que el quinto baxa por terceras: y el septimo de grado en grado. si baxa primero q[ue] sube sera p[ri]mero/ o segu[n]do/ o quarto/ o sexto. Estos conosceran en los fines dellos: saluo q[ue] entre el segundo y el sexto hay vna differencia: que el segu[n]do tono tiene punto con rasgo: y el sexto no. punto con rasgo se dize tono simple.
Toda ligadura/ o tiene trato/ o no: si tiene trato distingo: o el tal trato/ o rasgo viene a la mano derecha/ o a la yzquierda: si a la mano derecha/ agora suba/ agora baxe/ sie[m]pre sera longa/ o maxima segu[n] su ca[n]tidad. Si a la mano yzquierda distingo/ o el tal rasgo sube o baxa. si sube los dos primeros seran semibreues: e si baxa seran tie[m]pos: y todos de medio de qual[uie]r ligadura seran tie[m]pos hasta el postrimero: que sera longa/ o maxima segun la quantidad [...]
La primera figura del canto de órgano de las arriba dichas [Breve] por estos tiempos [A6 +A2 sur une même ligne] vale dos compases. La qual no toparan en el primero ni segundo libros. En el tercero si. Y tendra vn rasgo por encima desta manera [EJEMPLO] El qual da a ente[n]der que passa la mitad de aquella figura al otro compas. Y lo mesmo se a de entender delas otras figuras quando tuuieren el dicho rasgo. Por el tercer t[iem]po que es este. [A6 sur une ligne] dicha primera figura vale vn co[m]pas como en vn exemplo que aqui pongo veran: desta figura y de todas las otras [EJEMPLO].
Para inteligencia y vso de la cifra deste libro, se ha de presuponer que el que quisiere poner las obras de el en Tecla, Harpa o Vihuela, ha de saber cantar y tener muy conocidos y en la memoria, los signos de la musica, significados en esta cifra, por las siete primeras letras de guarismo q[ue] corresponden a las siete letras de los signos, en esta manera, vno Fefaut. 2. Gesolreut. 3. Alamire. 4. Befabemi. 5. Cesolfaut. 6. Desolre. 7. Elami. Saluo que para distinguir los siete signos graues, aqui se comiençan a contar desde Fefaut de Retropoles. Las letras numerales van señaladas con vn rasguillo en esta forma. Y los siete agudos assi. Y los sobre agudos, co[n] vn puntillo a la parte de encima Desta manera. Si encima de los sobreagudos ubiere alguna obra, los numeros de los puntos que subiere se señalaran de mas del puntillo, con vna coma o señal, enesta forma. Y si de los graues baxaren mas abaxo los signos que fueren, se señalaran desta manera.
En quanto a la forma de las figuras, digo que la Maxima se reconoce facilmente, por ser vna figura muy grande y tendida, con vna plica (ò sin ella) a la mano derecha. La Longa se conoce que es vna figura quadrada, assi mesmo con plica à la mano derecha. la Breue , es otro punto ò figura quadrada, mas sin plica, La Semibreue, es vna figura quasi quadrangulada, aunque el vso del escriuir la tiene embastardida, dandole la forma à manera casi de figura quadrada. La Minima es vna figura como la de la Semibreue, si no que es llena de color negro. La Corchea es vna figura como la de la Semiminima, mas tiene la cima de la virgula engarrasada, con vn rasguillo hazia la parte derecha. Y la Semicorchea, es de la mesma forma de la Corchea si no que tiene otro rasguillo da mas; de modo q[ue] viene a tener dos revueltos, como à la letrs .H. se vee.hazia la parte derecha. [FIGURA p302]
Quisiera dezir algu[n]as de las muchas perfectiones desta cifra (porque a mi juyzio no ay para que nadie se canse, y desuele en pensar otra) mas por abreviar lo dexaremos. Pues entendido lo que vale cada figura de ca[n]to de organo y sus aguardas (como queda dicho) lo primero que se ha de saber, es contar hasta siete por el guarismo, porque toda esta cifra va repartida en siete cifras graues, y siete agudas, y siete sobre agudas: y si baxare mas la obra del vno graue, el que se sigue es siete regraue: y luego seys, y cinco regraue, que es la primera tecla del monacordio, y lo mismo sera de la vihuuela, o harpa, si baxare[n] y si subieren mas, sera[n] resobreagudas. Exemplo [EJEMPPLO] Sabido que por los rasguillos y puntillos se distingue[n] y conoce[n] estas cifras, porque los regraues tienen vn rasguillo y vn puntillo. [EJEMPLO] y las graues vn rasguillo. [idem]. Yè las aguras no tienen rasguillo, ni puntillo. [idem]. Y las sobre agudas vn puntillo. [idem] y las resobre agudas dos puntillos. [idem]. Luego ha de ente[n]der que qua[n]tas reglas huuiere, d[e] tantas vozes es la obra, porq[u]e si ay dos reglas, es de dos vozes, y si tres, de tres: y si quatro, d[e]quatro: y si cinco, d[e] cinco &. y que por la primera regla d[e] arriba va el tiple, y por la segunda el contra alto, y por la tercera el tenor, y por la quarta: o mas baxa, va el contrabaxo: y si huuiere mas otra voz, y fuere tiple, ponerse ha en otra regla cabe el otro tiple, y si co[n]tra alto ju[n]to al co[n]tra alto: y si assi las otras vozes: y luego parta los co[m]passes por sus quadras en cada vna vno d[e] los quales ha d[e] ymaginar quatro lugares: entre raya y raya: las quales rayas, son dos lineas de alto abaxo, entre las quales estan encerradas las cifras de cada compas (como mas claramente se vera en la cifra) y estos quatro lugares se han de ymaginar en cada voz, en el tiple quatro lugares, y otros tanto en el contra alto, y assi en las otras vozes. Y esto se entiende en cada compas de cada voz: y estos quatro lugares quando estuuieren ocupados sera[n] quatro seminimas [...]
[...] las pausas valen tantos tienpos/o breues quantos ocupan de espacios. Si la pausa ocupare tres espacios uale tres breues y esto no se pone sino en modo. [p180] o mayor prolacion. Si la pausa ocupare dos espacios vale dos breues. Si vno vale vn breue. Si la pausa ocupare de la regla fasta medio del espacio descindiendo vale vn semibreue.e si subiere de la regla hasta medio del espacio es de minima. Si la minima de pausa tuviere vn r rasguito encima sera de seminima [...] exemplo de todas las pausas.
En el tercero libro de las obras pa[ra] cantadas y tañidas topara[n] delante de algu[n]as cifras vn rasguito desta manera .[EJEMPLO] . El qual da a entender que la cifra q[ue] le tubiere delante sera la vox [sic] que se puede ca[n]tar si quisieren laqual a de yr tanbien tañida. Enel dicho libro toparan tan bien sobre algunas Figuras del Canto de Organo En la box que va sacada en canto de organo para cantada vna estrellica desta manera [EJEMPLO] pone se para q[ue] sepan que la figura q[ue] encima le tuuiere se a de diuidir en dos partes [.] Si fuere semibreue partirle en dos minimas si minima en dos seminimas si seminima en dos corcheas esto sea de entender a la segu[n]da buelta o e[n] la tercera porq[ue] en tal lugar la buelta segunda o tercera no traen los pies la misma cantidad ni silauas que en la primera porq[ue] o trae[n] mas o menos.
Volviendo a la melodia del subir, comensando por segunda, quatro maneras ay de melodia en la segunda. La primera es que toca en el punto más arriba y buelue al mismo punto y después va al punto mesmo del canto lano, [y] el nombre es sobaquilo.La secunda es al azer otro punto en el mismo punto y azer otro punto en el que viene y passar al canto lano, y su nombre es goteada. La terça es tocar en el punto propinco y en el otro más arriba y voluer al canto lano, y su nombre es cargadillo.La quarta es que toca en el punto más baxo y torna al mismo punto y passar al canto lano, y su no[m]bre es rastrada, como paresce por exemplo.
Melodía de tercera subiendo en quatro maneras. La primera es entrepuesto entre'l un estremo y el otro vn son pequenyo. La segunda es entrepuesto con cargadillo entrepuesto entre los dos extremos. La terça es entrepuesto con goteada. La quarta es glosa rastrada que toca en el punto mas abaxo y buelue al mesmo punto [y al otro] más arriba y despues al canto lano, como paresce por exemplo.
La melodía de quarta subiendo es en quatro maneras. La primera es rastrada que es tocar en todos los puntos de entre los estremos. La segunda es [ rastrada] con cargadillo en medi[o] d’ela, anci a la parte graue como a la aguda, como entre el [e]stremo de la rastrada y el canto lano que conuiene. La terça [es] onda fuera del primero punto y passar al canto lan[o]. La quarta es glosa después de la onda sobredicha, passan[do] por los entrepuestos sones, [como paresce por exemplo].
La melodía de quinta subiendo es en quatro maneras. La primera es onda separada y passar al canto lano. La segunda es rastrada, y es passar por todos los entrepuestos. La terça es rastrada con cargadillo al cabo d’ela. La quarta es rastrada con sobaquillo, como paresce por exemplo.
Capítulo segundo de melodía para terça descendiendo. La melodía para decender terça en sinco maneras. La primera es rastrada que es tocar al son intermedio. Segunda es rastrada con glosa después de la rastrada. Terça es gleua que es tocar en el signo más baxo y boluer al mesmo punto y después boluer al signo que viene para passar al canto lano. La quarta es glosa francesa que es tocar al punto más arriba y boluer al mesmo punto y al otro que viene baxando, y después al canto lano. La quinta es capileyo con rastrada a la vna parte y a la otra, como paresce por exemplo;
La melodía de quarta descendiendo es en quatro maneras. La primera es rastrada, y es tocar en los signos de intermedio. La segunda es glosa, y es tocar en el signo más arriba y boluer al mesmo punto, y después rastrada. La terça es rastrada con gleua a la parte baxa. La quarta es rastrada con gleua a la parte d’arriba, como paresce por exemplo.
La melodía de quinta descendiendo es en quatro maneras. La primera es rastrada, y es tocar en los puntos intermedios. La segunda es contracapileyo a la parte aguda con rastrada. La terça es capileyo a la parte aguda con rastrada. La quarta es dos terceras con dos gleues, como paresce por exemplo.
[…]asi he tomado el a treuimeniento de presentar a VS. este retrato de la Guitarra. aunque es verdad. que enpoco tiempo VS. a comprehendido casi todo loque yo he podido componer y juntar. en el hallara nueuamente çifrado curiosos Romançes. Seguidillas. Chaconas. Çarauandas. Pasacalles. Gallardas romanescas. Satiras. Liras. Cançiones Zampa palos. guineos. Pauanas. Otauas y quartillas glosas y egnimas. la morisca. las folias de ocho maneras. el rastreado el Ay ay ay, letrillas de theatro. la dança de la Hacha. amorosas en dechas. seguidillas. en Eco. el saltaren. y el cauallero Español. yotras cosas que son de gusto y no de mucha pena.Ami me pesa mucho de haçer presente a VS. de vn metodo ala ora que save casi todo lo que enel se ençierra [...] Muchos ay señora mia que se burlan de la Guitarra y de su son. pero si bien consideran hallaran que la Guitarra es vn instrumento el mas favorable para nuestros tiempos que jamas sebio.
En el canto llano vsamos seys señales. La primera se llama claue, y son dos. Vna tiene tres puntos en esta figura [D1], y se llama comunmente claue de ffaut. Otra claue tiene dos puntos, y se figura en esta manera [D6]: la qual se dize de csolfaut. [fol vijv] Por estas dos claues se rige todo el canto llano. La linea en que estuuiere asentada la primera claue, es ffaut: y donde estuuiere la segunda claue, sera csolfaut. La segunda señal es cinco reglas. Para mayor facilidad pusieron el canto llano en cinco reglas: el qual solia estar en vna Suelen poner la claue comunmente en la regla de en medio: y si ay necessidad de mudarla de la dicha regla: deue ser puesta en vna de las mas cercanas a esta de en medio. La tercera señal es los puntos. Para subir y baxar en el canto: inuentaron los puntos. Aun que con diuersas figuras en canto llano sean señalados: todos tienen vn mesmo valor, excepto el que tiene dos plicas, que ha d[e] valor dos compases. Plica llamo vn rasgo que d[e]sciende del punto. Unas vezes esta plica a la mano derecha, y otras a la yzquierda del punto: pero siempre descendiente en canto llano. Es la quarta señal vnas rayas puestas entre los puntos, y se llaman virgulas: las quales diuiden las partes. Entre virgula y virgula suele estar vna parte. La quinta se dize guion, y se pone en fin de todos los renglones: la qual enseña en que signo esta el punto en el siguiente renglon. La vltima señal es para saber quando haremos bquadrado, o bmol. Quando viene vn punto, que puede ser la vna, o la otra propriedad: quitase toda duda con la señal. La señal de b quadrado se pone con esta figura [C4] y la de bmol es vna [C1] [fviij] pequeña. Todas estas seys señales hallareys en la figura superior debaxo la B.
En el canto llano usamos seys señales. La primera se llama clave, y son dos. Vna tiene tres puntos en esta figura , y se llama co[m]munmente clave de Ffaut. Otra claue tiene dos puntos, y se figura en esta manera : la qual se dize de csolfaut […]. [f21rb] La segunda señal es cinco reglas[…]. La tercera señal es los puntos: los quales inve[n]taron para subir y abaxar en el canto […] en canto llano […] todos tienen vn mesmo valor excepto el que tiene dos plicas, que vale dos compases […]. Es la quarta señal unas rayas puestas entre los puntos, y se llaman virgulas: las quales diuiden las partes. Entre virgula y virgula suele estar una parte. La quinta [señal] se dize guion, y se pone en fin de todos los renglones: la qual enseña en que signo esta el punto en el siguiente renglon. La ultima señal es para saber quando haremos B quadrado, o bmol […] La señal de quadrado se pone con esta figura : y la de bmol es vna b pequeña.
Aßi hallareys seys rayas, o reglas sobre las quales se ponen estas señales, o numeros [las cifras]: las quales seys rayas significan las seys cuerdas. Pocas vezes pasa la composicion al decimo traste: y comu[m]mente no tiene la vihuela necessidad de mas de diez trastes. Si al decimo traste paßare la obra hallareys un diez llano en esta figura x: y si allegare al vndecimno, hallarlo[f100rb]heys desta manera xj.
Muchas vezes hallareys al principio de las cifras el tiempo porque se tañen: y quando no estuuiere, fue descuydo del tra[n]sumptador […] Ay vnos puntillos que guian las cifras: los quales dizen, que las tales cifras aßi guiadas han de dar junctas, y las otras que estuuieren apartadas, cada vna por si. En esto mire mucho el nueuo cifrador, que todos los pu[n]tos que da[n] junctos, las cifras a ellos correspondientes se ponga[n] vnas enfrente de otras. Hallareys unas rayas, o virgulas que atrauießan las dichas seys cuerdas: las quales no sirue[n] de otra cosa, sino de diuidir los compases. En esta diuision cognoscereys (viendo qua[n]tas cifras ay en tal repartimiento o diuision) que valor tiene cada cifra. Hallareys algunas vezes dos rasgos, que ocupan dos spacios: y son repeticion de villa[n]cico, o chançoneta.
Quando se pusieren los quatro trastes sobredichos, que son diuisiones de tono: hazed unas rayas, o traços con cartabon, o con regla de parte a parte: porque seran menester.
[…] [El tañedor]puede poner en la harpa ca[n]to de organo por cifras: como en todos los instrumentos […] Vistas las bozes que tiene la obra que aßi poner quereys: hareys tantas reglas, o rayas, en las quales cifraran las tales bozes. Cada boz ha de yr cifrada en su regla. La mas baxa regla es para el co[n]trabaxo, la otra para el tenor, la tercera para el co[n]tra alto, y la quarta para el tiple. [f112va] Si la musica fuere a mas de quatro bozes: de tal manera la compassareys, y porneys en las reglas, o rayas, que siempre la boz mas alta este en la regla mas alta. El que no fuere componedor, o estuuiere exercitado en poner en vihuela, o en organo: reparta primero los compases encima de las reglas donde han de yr las cifras: Los quales esten diuisos con vnas virgulas a manera de lo que dixe en la vihuela.
Unas rayas usa el ca[n]to llano, y se llaman virgulas. El officio destas es diuidir las partes. Siempre entre diction y diction se pone una, [f126ra] no teniendo consyderacion que sea de pocas, o muchas sylabas. Esta virgula toma co[n]munmente dos espacios: y es muy delgada. Ay otras virgulas grandes, que se pone[n] en fin del ca[n]to: las quales toma[n] todas cinco reglas.
Ansi mismo han de saber, que en cada espacio de los que estan entre las rayas q[ue] atrauiessan las reglas de alto abaxo, vale vn compas, el qual sino vuiere mas de vna letra al principio sera semibreue, y si dos, vno en el principio y otro en el medio, seran minimas y si vuiere quatro letras seran seminimas, y ansi secutiuamente, conforme a la tabla q[ue] para demostracion de como se puntan todas las figuras de canto dorgano, y algunas glosas faciles se pone.
Figura en Musica es la representacion de la boz recta y tacita: boz recta es la que se pronuncia cantando, mediante las figuras llamadas vulgarmente Notas, y la boz tacita, es aquella que se considera callando, debaxo de la mesma medida de tiempo: y ordenariamente se representa con virgulas ò rayas, llamadas pausas. Concluyremos pues, que tenemos dos maneras de figuras , particularmente en Canto de Organo; las vnas cantables y las otras incantables; las figuras cantables, son señales representatiuas de boz , y nos dan à entender que cantamos: por el contrario, las incantables son señales representatiuas de silencio ; esto es, que nos aduierten que callemos.
Aduiertan tambien quales posiciones estan en regla (que es en una raya, assi, [ejemplo]) y quales en espacio (que es en el vazio que ay entre dos rayas, assi [ejemplo]; Aduierta quantas notas ò puntos ay en cada posicion, las quales tantas sera, qua[n]tas fueren las sylabas; quitando pero la primera letra.
De las rayas largas en Cantollano,llamadas Pausas; y de que siruen. Cap. LXIIII. Las rayas o virgulas que atrauiessan todas las reglas (quatro o cinco que sean) son para muchas cosas: como es para la solennidad del canto; para hazer alli differencia de las reglas comunes y generales; siruen tambien para guardar las presas de los Responsos, y para Las Clausulas de los Tonos, que alli se ponen por señal; y tambien para auertirnos que alli se concluyen las partes de la letra con el punto: y finalmente para tomar descanso y aliento, como en las pausas de Canto de Organo
La occasion que los Compositores han tenido de hazer diuersas maneras de composiciones, assi mesmo los hizo hallar differentes ordenes de proceder en ellas: por esso vemos, que assi como las Canciones, los Romances, y las Villanescas son de otra manera, que no son los Madrigales, las Missas, ni los Motetes; assi mesmo por no hazerlas conuenir en todo, les dieron otro differente principio, y tambien otra manera de final. Pero hase de saber, que casi de ordinario en los Sonetos, en las Coblas y Canciones, y en los Villancicos, despues de hauer cantado alguntanto, se suele hallar vna señal formada con dos rayas coruas ò rectas, que ocupan dos espacios ò mas, y cada una tiene dos puntillos.
Casi de ordinario en los Sonetos, en las Coblas, y Canciones, y en los Villancicos, despues de hauer cantado alguntanto, se suele hallar vna señal formada con dos rayas coruas ò rectas, que ocupan dos espacios ò mas, y cada una tiene dos puntillos. [...] Algunos quieren que estos puntillos nos aduiertan quantas vezes vaya repetida la dicha obra: entre los quales Herrique Letinsense y el Bachiller Tapia, dizen; Que tantas vezes se ha de reiterar y repetir la obra, quantos puntillos tuuiere la dicha señal. La qual de los Italianos es llamada Ritornello; y de los Españoles, Repeticion. Y Iuan Maria Lanfranco dize, que la dicha señal se forma con tantas Pausas de Longa imperfeta, y puntada à las partes (y esto asin no sean tomadas por Pausas esenciales, estando sin puntillos) quantas vezes quiere el Compositor se buelua dezir de nueuo aquellas Notas y Pausas, que cerradas estan entre la señal de la Repeticion y la Pausa larga, que abraça todas las cinco reglas; ò entre la vna y la otra Repeticion.
Aduiertan que la postrera Nota antes de la primera señal, la primera vez se tiene muy larga, parandose el Compas sobre della; mas la segunda vez se tiene puntualmente lo que vale, y no mas; cantando seguidamente hasta la fin. Al contrario, la postrera Nota antes de la segunda señal, se tiene lo que vale la primera vez y la segunda vez, se tiene muy larga, concluyendo con ella todo el canto: que por esto se suele escriuir aquella postrera Nota con el Calderon en lugar de aquellas pausas generales. Lo mesmo entender se ha en las demas postreras Notas. Mas si despues de la señal de la primera Repeticion, digo antes de llegar en fin de la composicion, se hallare vna raya larga y atrauessada, que abraçe todas cinco reglas, siempre la Repeticion de la final se comiença desde la primera nota siguiente a la dicha raya.
[...] si alguno me preguntare de como se han de cantar los dichos madrigales à notas negras: yo le responderé, que no se deuen cantar à la Breue , si no à la Semibreve; por qua[n]to en vn Compas no ha de passar otra cosa, que vna Semibreue ò tanto valor la qual Semibreue ó su cantidad , en esta occasion ha de tardar tanto , quanto passa la Breue de la señal diminuyda con raya : hauiendo de ser esta el Compas mas apressurado, con menos grauedad, y no con tanta magestad que este [EJEMPLO] otro, [...]. Mas por cantar con notas negras (midiendo segun su Tiempo) serà la Semibreve desta [EJEMPLO] señal tan larga, tan graue, y tan espaciosa; como la Breue desta otra [EJEMPLO] con virgula.
Tenra el Tiple la claue de G solreut en su lugar ordinario: las demas vozes tenran la Claue de C solfaut , pero à differencia; que el Alto la tiene en la segunda, el Tenor en la tercera, y el Baxo en la quarta regla: y a vezes tiene la de Ffaut en la tercera raya.
4- Tendrà el Tiple [del quinto tono] la Claue de G solreut puesta en su lugar ordinario [segunda regla] : el Contralto y Tenor tenran la Claue de c solfaut en Segunda y tercera regla: y el Baxo tenra la suya de F faut, tambien en la tercera regla ò raya [...], ò en quarta de C solfaut.
Para que todo esto mas clara y palpablemente se entienda, ponremos el juego del Monachordio dibuxado. y a cadauno de los Semitonos incantables , ponremos en particular vna raya atrauessada de tecla negra à tecla blanca : y da à entender, que adonde quiera que estuuiere esta raya atauessada, es Semitono incantable; por el qual en ninguna manera se puede subir ni baxar (tañendo como digo Genero Diathonico en su natural,) ni tampoco redoblar, ni hazer quiebros. tmabien da à entender, que a donde quiera que no hubiere la sobre dicha raya atrauessada te tecla megra à tecla blanca, es Semitono cantable: ecpeto las dos primeras teclas negras, de las quales à las teclas bancas que tienen junto a si à ambos lados, no ay Semitono cantable, ni tampoco incantable. A fin vaya todo mas claro, aduierto que las teclas blancas , y las dos primeras negras , van señaladas con letra , que da á entender la posicion de cada una. Aduertiendo que las que tuuieren cruz , son posiciones que estan fuera de las veynte ordinarias que ay en la Mano. Las tres Claues particulares que rigen toda la Musica es à sauer de F faut, de C solfaut, y de G solreut estan puestas en sus lugares: tambien las teclas negras las quales son Bemoles, van señaladas con su indicio, que es esta b letra; y las que son Sostenidos , con el suyo, que es este [SIGNO MUSICAl]. Y todo esto se hizo a fin que el Maestro de Capilla pueda saber lo que conuiene para seruicio de su Musica: y conocer por quales partes se puede concertar accidentalmente, fingiendo vozes en Signos adonde naturalmente no las ay. Lo qual se haze por dar vn tono natural y cantable al Choro, y à los que cantan en el organo; y eso nace de no estar proporcionado el tono del instrumento con el tono de las vozes. Aduiertan pero, que algunos instrumentos ay, que tienen dos teclas de mas; y otros, que les faltan la primera tecla blanca, y las dos primeras teclas negras. Los que tienen teclas blancas de mas, son de diez contras; en los quales [SIGNO MUSICAL] tiene su assiento en la quinta blanca: los que les faltan la primera tecla blanca , y las dos primeras teclas negras , son de cinco contras: y en estos, [SIGNO MUSICAL] tiene su assiento en la segunda tecla blanca: mas los que ni les falta ni sobra [p.932] (que son los comunes que agora se vsan) son de ocho contras ; y en estos tales, [SIGNO MUSICAL] tiene su assiento en la tercera tecla blanca, como aqui se vee. Figura del Juego del Monachordio, adonde se pueden ver los lugares de los Bemoles Y Sostenidos, con todo lo demas, que hasta aqui hemos tractado.
[…] las quatro lineas de cada pauta significan las quatro vozes: la mas alta si[f15r]nifica el tiple, la segunda el alto, la tercera el tenor, y la mas baxa el baxo; y las rayas que las atrauiesan de alto abaxo significan los compases, y los numeros que estan muy juntos a ellas, son los que dan al dar del compas, y los que da[n] en medio (entre raya y raya) son los que dan al alçar de el compas, y todos los que esta[n] fronteros en todas quatro lineas, o en las tres, o en dos, an de dar a la par; y las figuras que estan en cima de los numeros entre pauta y pauta son el valor, y detencion (mas o menos conforme fuere la figura) que se a de hazer en cada numero; del qual valor, o detencion (llamado por otro nombre ayre) tratare exactamente en el libro prometido de Versos, siendo Dios seruido.
Para inteligencia de este capitulo se aduierta, que con cada mano ay, y se pueden dar, ocho posturas, y son las siguientes. Vnisonus, segu[n]da, tercera, quarta, quinta, sexta, septima, octava: otras dos se vsan, aunque pocas vezes, que son: Nouena, y dezena; y estas se reduze[n] a los mismos dedos de octaua. Vnisonus es, quando dos numeros semejantes estan fronteros en dos rayas diferentes, esto es, que dan a la par: reputanle por vno, y assi se da[n] ambos en vna tecla, y co[n] vn mismo dedo, y no ay dedo determinado, regulase por lo dicho atras, en el modo de come[n]çar y proseguir vna obra. Segu[n]da co[n] la derecha (de golpe, o ligada en clausula hecha o acometida) con las dos vozes superiores, se suele dar con tercero y quarto dedos. Segunda con la izquierda (en la misma forma) se suele dar con quarto y segundo, y con segundo y primero dedos […]
[…] lo que haze a vno perfecto positor de cifra es lo siguiente. Primeramente que sea diestro cantante de canto de organo, de lo qual nace el saber dar el legitimo ayre y valor a todas las glosas binarias, ternarias, quinarias, senarias, septenarias, &c. Puntillos, aspiraciones, sincopados, &c. Item, que guarde con obseruancia inuiolable, el no leuantar vn numero hasta que se siga otro, o pausa en la misma raya [f25r] […] Item, que no mescle vna voz con otra, leuantando el contralto aviendo de leuantar el tiple, o otra voz: o leuantando el tenor, auiendo de leuantar el alto, o otra voz: o leuantando el baxo, auiendo de leuantar otra voz; sino que sepa y guarde cada voz sin mexclarla con otra, de modo que el numero q[ue] estuuiere en vna raya, no se lo de a otra voz, sino a aquella misma[…]
Las seys rayas a la larga, significan ser las seys cuerdas de la vihuela, tomandolas desta manera.[EJEMPLO a]
Las letras de cuenta de Guarismo significan numero, contando de vno hasta diez. Exemplo. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. x. salvo esta letra, o, que en la cuerda que estuuiere, se ha de dar en vacio.
Todos estos numeros señalan en que traste se an de tocar las cuerdas, y assi, este numero. 1. en la cuerda que estubiere se a de tocar en el primero traste, y assi el numero 2. se tocara en el segundo traste:y por el co[n]siguiente los demas, y todos los numeros q[ue] estubiere[n] en frente los vnos de los otros, tocarse an juntas las cuerdas en q[ue] estubieren: y qua[n]do esten por si apartado el vno del otro, tocarse a cada cuerda por si. |EJEMPLO b]
Las figuras de canto de organo que estan encima de las rayas, señalan el valor de los golpes, y assi todo numero q[ue] estubiere con otros, o por si, se le dara el valor de la figura que tubiere por señal.
Los puntillos que ay en los espacios entre raya y raya, sirve[n] de guiar los numeros que se han de dar juntos: y tambien siruen de guiar las figuras de canto de organo sobre los numeros que han de estar […]
Las rayas que atraviessan las cuerdas, diuiden vn compas, que son los golpes que ay de vna raya a otra: que si es vn golpe, se le dara el valor de vn semibreue, y dos golpes se le dara a cada vno el valor de vna minima, y si son quatro golpes, se les dara el valor de quatro seminimas: y si ay ocho golpes, se les dara el valor de ocho corcheas: que cada vn numero destos quatro numeros hazen vn compassillo.
Las cinco rayas de notan las cinco cuerdas de la Guitarra. Para conoçer qual dellas es la prima, segunda, terçera, quarta, e quinta, lo declaran los numeros 1. 2. 3. 4. 5. que estan al principio dellas.
Quando se hallare en todas cinco rayas vn mismo numero, es que en aquel traste, que señalare la cantidad del numero, se a de tender el dedo indice apretando todas las cuerdas, y los de mas dedos se an de poner co[n]forme los numeros, que estuuieren adelante.
Quantas son las vozes de la obra, o verso, que se ha de tocar, tantas lineas paralelas servira[n] [en el cifra], y en cada vna su voz. [f21v] Cada espacio de los que estan entre las rayas, que atrauiessan de alto abaxo las lineas paralelas de las vozes, vale vn compas; y para distribuirle en las figuras que contiene, y dar su valor a cada vna, le ha de diuidir en su imaginacion el Organista en mitades, tercias partes, quartas partes, sextas &. por el mismo orden que diuiden las figuras el compas en el tiempo que se hallare al principio de la obra: y conforme fuere la parte, o partes de espacio, que la letra tiene despues de si, assi es el valor de la figura.
Las virgulas o rayas q[ue] atrauiessa[n] todas las reglas, son necessarias pa[ra] muchas cosas, son pa[ra] guardar las presas de los Respo[n]sos, pa[ra] hazer alli difere[n]cia de las reglas comunes y generales, sirue[n] ta[m]bie[n] para guardar las clausulas de los tonos que alli se ponen por señal. Y para la solemnidad de la letra y canto, tambien son para tomar [f21v] descanso, y aliento como pausas: y para hazer las partes de la letra con el punto, para las clausulas.
Es menester q[ue] sepays q[ue] mesura y ayre se ha de dar ala musica: q[ue] por las dichas çifras esta pintada en el presente libro: porq[ue] podria dezir alguno, q[ue] aunq[ue] las çifras puestas sobre las rayas, le muestren q[ue] cuerdas ha de tañer d[e] la vihuela: y en q[ue] trastes: no por esso se podria ente[n]der q[ue] ayre y co[m]pas se ha de dar a la dicha musica. El co[m]pas en la musica no es otra cosa porq[ue] sepays, sino un alçar y abaxar la mano, o pie por un ygual tiempo.
En el deziseteno compas [EJEMPLO], ay un punto en la postrera minima. El dicho punto es d[e]l deziocheno co[m]pas: y por esso le toma una raya: y le passa al otro co[m]pas.
Para cantar letra, se aduierta, que en cada punto que no estuuiere ligado se ha de poner vna syllaba, y en los ligados solo en el primero, y con la vocal de aquella syllaba se cantaran los ligados en aquel passo, deteniendose siempre en la letra que acabare sentencia, do[n]de huuiere vna raya grande entre los puntos denota lo mesmo, aunque no todos las ponen en sus lugares, Pues ha de ser donde el pu[n]to haze clausula; o la letra acaba sentencia.
Las rayas que atrauiessan de la sexta a la prima siruen de diuidir los compases en los quales se vee bien claro de cada figura exemplo de las que entran en vn compas. Esta diferencia de tiempos (o compases) conotros q[ue] no pongo aq[ui] no sin causa los Antiguos los vsaron y segu[n] mi parecer fue para conformar la musica (o el mouimiento della) con el sentido dela letra. Porque si vna letra es de materia alegre y regozijada de necessidad el compas a de yr regozijado y a priessa. Y si otra ni del todo alegre y regozijada ni del todo triste tambien tendra esta necessidad de otro compas que ni va ya muy apriessa ni muy despacio. Y ni mas ni menos la que del todo es triste querra el compas despacio.
Algunas vezes acaba el co[m]pas en vn semibreue sincopa / o minima co[n] pu[n]tillo: y encima atrauiesa vna raya en arco q[ue] pasa el co[m]pas q[ue] se sigue. Donde hallaren esta señal te[n]gan aq[ue]l golpe / el valor d[e]la figura q[ue] esta encima. y la raya q[ue] atrauiessa da a ente[n]der q[ue] la meytad del semibreue /o el pu[n]tillo que esta delante la minima es del co[m]pas que se sigue como aqui parece.
[EJEMPLO]
Las rayas que atrauiesan las cuerdas diuide[n] vn co[m]pas que son los golpes que ay de vna raya a otra/que si es vn golpe se le dara el valor de vn semibreue: y si ay dos golpes se le ha de dar a cada vno valor de vna minima. y si son quatro se le daran el valor de quatro seminimas. y si ay ocho golpes se le daran valor de ocho corcheas: que cada vno destos quatro numeros por si hazen vn compasillo.
[|EJEMPLO]
Las figuras de ca[n]to de organo que esta[n] encima d[e]las rayas señalan el valor delos golpes / y asi todo numero que estuuiere con otros o por si se le dara el valor de la figura que tuuiere por señal exemplo.
Los pu[n]tillos que ay enlos espacios entre raya y raya sirue[n] de guiar los numeros q[ue] se an de dar ju[n]tos. y asi mismo guian las figuras de canto de organo sobre los numeros que an de estar como enel exemplo de ariba parece.
[EJEMPLO]
El compas de la vihuela es el mismo que el del canto, y es un espacio de tiempo que se tarda tanto quanto la mano, o el pie en alçar y baxar este compas puede ser de mayor espacio o menor como quisiere el que tañe, y es de saber que las cifras que esta[n] metidas entre dos rayas que atrauiessan las cuerdas valen vn compas y tanto se an de tardar en tañer aquel espacio que aya pocas cifras como muchas, y esta figura [ejemplo] que a de estar encima que es semibreue vale vn compas y dos de estas [ejemplo] q[ue] son minimas en otro, y q[ua]tro de estas semimini [ejemplo] mas se mete[n] en otro y ocho d[e] estas q[ue] son corcheas [ejemplo] se meten en otro y tanto espacio de tiempo se tardan en tañer las vnas como las otras, y las cifras que estan debaxo se tañen con la presteza q[ue] significan las figuras de canto que esta[n] encima notan las figuras que se siguen.
Adonde quiera que estuuiere esta raya atrauessada [en la figura del juego del monacordio] de tecla negra a tecla blanca, es semitono incantable, por el qual en ninguna manera se puede subir ni baxar, ni tampoco redoblar, ni hazer quiebro.
[…] conviene dezir las reglas para entender la cifra y particulares cosas que en el se contiene[n]. Primeramente las seys rayas siguientes, que devaxo estan figuradas, so[n] las seys cuerdas de la vihuela, tomando las desta manera [EJEMPLO].
En estas seys cuerdas se muestran las siguientes cifras, que son los numeros para conoscer el valor de cada traste, co[n]tando de vno hasta diez, exemplo 1 2 3 4 5 6 7 8 9 x saluo esta letra o que en la cuerda que estuuiere sea de tocar en vazio, de manera que las presentes [B] cifras os han de servir pa[ra] mostraros en que trastes se an de poner los dedos en la vihuela como aqui esta figurado. En el primero traste la sesta. Quinta en el tercero traste. Quarta en el tercero traste. Tercera en el tercero traste. Segu[n]da e[n] el primero traste. Prima en el primero traste, [EJEMPLO].
Quando las cifras estan vna despues de otra, tañerse an las cuerdas de la vihuela vna despues de la otra, como arriba os esta figurado. Y si vie[n]en dos o tres o quatro cifras iuntas frontero vnas de otras tañer se an las cuerdas de la vihuela iuntas como aqui se figuran. [EJEMPLO]
Quisiera dezir algu[n]as de las muchas perfectiones desta cifra (porque a mi juyzio no ay para que nadie se canse, y desuele en pensar otra) mas por abreviar lo dexaremos. Pues entendido lo que vale cada figura de ca[n]to de organo y sus aguardas (como queda dicho) lo primero que se ha de saber, es contar hasta siete por el guarismo, porque toda esta cifra va repartida en siete cifras graues, y siete agudas, y siete sobre agudas: y si baxare mas la obra del vno graue, el que se sigue es siete regraue: y luego seys, y cinco regraue, que es la primera tecla del monacordio, y lo mismo sera de la vihuuela, o harpa, si baxare[n] y si subieren mas, sera[n] resobreagudas. Exemplo [EJEMPPLO] Sabido que por los rasguillos y puntillos se distingue[n] y conoce[n] estas cifras, porque los regraues tienen vn rasguillo y vn puntillo. [EJEMPLO] y las graues vn rasguillo. [idem]. Yè las aguras no tienen rasguillo, ni puntillo. [idem]. Y las sobre agudas vn puntillo. [idem] y las resobre agudas dos puntillos. [idem]. Luego ha de ente[n]der que qua[n]tas reglas huuiere, d[e] tantas vozes es la obra, porq[u]e si ay dos reglas, es de dos vozes, y si tres, de tres: y si quatro, d[e]quatro: y si cinco, d[e] cinco &. y que por la primera regla d[e] arriba va el tiple, y por la segunda el contra alto, y por la tercera el tenor, y por la quarta: o mas baxa, va el contrabaxo: y si huuiere mas otra voz, y fuere tiple, ponerse ha en otra regla cabe el otro tiple, y si co[n]tra alto ju[n]to al co[n]tra alto: y si assi las otras vozes: y luego parta los co[m]passes por sus quadras en cada vna vno d[e] los quales ha d[e] ymaginar quatro lugares: entre raya y raya: las quales rayas, son dos lineas de alto abaxo, entre las quales estan encerradas las cifras de cada compas (como mas claramente se vera en la cifra) y estos quatro lugares se han de ymaginar en cada voz, en el tiple quatro lugares, y otros tanto en el contra alto, y assi en las otras vozes. Y esto se entiende en cada compas de cada voz: y estos quatro lugares quando estuuieren ocupados sera[n] quatro seminimas [...]
Para templar la vihuela. Comunmente se suele començar de la quarta y por ella se rigen para templar las otras cuerdas, mas a mi parecer sera mejor començar de la prima, que tiene mas peligro de quebrarse, y que se suba en el alto que se pudiere sustentar, y luego templar la segunda que este quarta abaxo de la prima: y de la misma manera yra templando por quartas en vazio: saluo de la tercera a la quarta que es tercera. Suelen algunos maestros mostrar a templar a sus discipulos, echando vna raya encima de la cejica sobre las cuerdas, despues de bien templada la vihuela: y el principiante huelgase de destemplar y templar su vihuela, teniendo quiso de que no suban, ni baxen las cuerdas, mas de emparejar con la senal que esta en la cuerda o cuerdas, que quedaron templadas en la ceja.
[…] ciertamente que los practicos la tratamos a la quarta como monstruo en la musica, porque ya la tratamos como consonancia a la parte superior, ya como disonancia a la inferior, ya como perfecta en los fenecimientos, ya como imperfecta da[n]do dos, tres, quatro, y mas immediatas cubiertas; ya ni como vno ni como otro, que es quando la prohibimos en dos vozes: ella es consonancia monstruosa, y como dixe al principio es el totum continens de la musica, pues en ella concurren todas las razones, de consonancia perfecta parcial, de imperfecta, y de la falsa, y con razon los antiguos tanto la respetaron, y reuerenciaron, por lo qual es bien que sepan todos lo que se deue estimar, y que no la tengan en tan mala reputacion como la tienen. Demas de esta razon les quiero dar otra por donde se prueua que es consonancia: Bien saben todos, y en particular los cantollanistas, que el diapasson se compone de dos especies, vna mayor y otro menor, que son diapenthe y diathesaron, de quien vamos tratando, y pues que saben esto, es bien que sepan otra curiosidad, y es: en quantas maneras se compone el diapasson? digo pues que en diez maneras se compone, y en todas diez, se compone de dos especies semejantes, & eiusde[m] prope naturae, vna mayor y otra menor:.
[…] te advierto ante todas cosas, de vna libertad, y falsa que ay en este libro, que es en la que mas se puede reparar, y son dos quartas; vna en pos de otra con las dos vozes inferiores; vna al thesis, y otra al arsis; vna igual, y otra mayor, y tritonica: y aunque (razon de glosa) podian passar muy bien, sin otra mas razon: porque en ella caben estas y otras mas licencias; pero no quiero que solamente passe por glosa, sino que tambien se considere como texto, que es lo llano. Y para esto as de suponer que esta especie de Diathesaron, fue tenida en grande veneracio[n] de los antiguos, y lo es de todos los especulatiuos, antiguos y modernos: Y con grande razon por cierto; porq[ue] es el totum co[n]tinens la de [f9r] la misma, porque contiene en si todas las vozes musicales, vt, re, mi, fa, sol, la; porque quien dize, vt, re, mi, entona tambien fa sol la, y por el co[n]trario quien entona estas tres vltimas; entona tambien, qua[n]titatiue, las tres primeras. Y porque repetida, se hallan las propiedades, y deduciones todas: y se descubren los accidentales, y la diuision de los generos, y porque a ella se reduzen los fenecimientos de todos los tonos, pues todos fenecen en vt, re, mi, o fa; y los demas se reduzen a estos: y en ella concurren todas las razones que la musica encierra en si que son tres; razon de consonancia perfecta parcial, razon de consonancia imperfecta, y razon de falsa. Razon de consonancia perfecta parcial concurre en ella, porque de ella se produze la quinta (consonancia tambien perfecta parcial segun los practicos) y de estas dos la octaua consonancia perfectissima:.
Razon de consonancia imperfecta co[n]curre en la quarta, de la misma manera que (tambien) concurre en la quinta: porque siendo estas dos especies las que constituyen en su perfecion a la octaua, consonancia solamente perfecta, y sus descendentes, y ascendentes, segun Vuolico Barroducense lib. 6 cap. 5 de praeceptionibus contra punti. fol. 79. punct. 1. & 2. Claro esta que cada vna de por si no se podra dezir absolutamente perfecta, sino parte de la perfecta, que es la octaua, la qual como digo, y dize este autor, y otros muchos, solamente es perfecta, por quanto esta en proporcion dupla, y las demas no, y porque contiene y no es contenida[…] Digo pues que la [a la cuarta] confiessan [los prácticos] co[n] la obra por imperfecta; porque dan muchas quartas vna en pos de otra, cubierta con tercera inferior, da[n]do vna al dar, y otra al alçar, y tambien en cantidad de semibreue, y de breue, lo qual en ninguna manera pudieran hazer si fuera consonancia perfecta, y menos si fuera falsa, pues vemos que no pueden dar dos perfectas, de vna misma especie, ni tampoco dos falsas immediatas en cantidad de medio compas.
[…] ciertamente que los practicos la tratamos a la quarta como monstruo en la musica, porque ya la tratamos como consonancia a la parte superior, ya como disonancia a la inferior, ya como perfecta en los fenecimientos, ya como imperfecta da[n]do dos, tres, quatro, y mas immediatas cubiertas; ya ni como vno ni como otro, que es quando la prohibimos en dos vozes: ella es consonancia monstruosa, y como dixe al principio es el totum continens de la musica, pues en ella concurren todas las razones, de consonancia perfecta parcial, de imperfecta, y de la falsa, y con razon los antiguos tanto la respetaron, y reuerenciaron, por lo qual es bien que sepan todos lo que se deue estimar, y que no la tengan en tan mala reputacion como la tienen. Demas de esta razon les quiero dar otra por donde se prueua que es consonancia: Bien saben todos, y en particular los cantollanistas, que el diapasson se compone de dos especies, vna mayor y otro menor, que son diapenthe y diathesaron, de quien vamos tratando, y pues que saben esto, es bien que sepan otra curiosidad, y es: en quantas maneras se compone el diapasson? digo pues que en diez maneras se compone, y en todas diez, se compone de dos especies semejantes, & eiusde[m] prope naturae, vna mayor y otra menor:.
[…] te advierto ante todas cosas, de vna libertad, y falsa que ay en este libro, que es en la que mas se puede reparar, y son dos quartas; vna en pos de otra con las dos vozes inferiores; vna al thesis, y otra al arsis; vna igual, y otra mayor, y tritonica: y aunque (razon de glosa) podian passar muy bien, sin otra mas razon: porque en ella caben estas y otras mas licencias; pero no quiero que solamente passe por glosa, sino que tambien se considere como texto, que es lo llano. Y para esto as de suponer que esta especie de Diathesaron, fue tenida en grande veneracio[n] de los antiguos, y lo es de todos los especulatiuos, antiguos y modernos: Y con grande razon por cierto; porq[ue] es el totum co[n]tinens la de [f9r] la misma, porque contiene en si todas las vozes musicales, vt, re, mi, fa, sol, la; porque quien dize, vt, re, mi, entona tambien fa sol la, y por el co[n]trario quien entona estas tres vltimas; entona tambien, qua[n]titatiue, las tres primeras. Y porque repetida, se hallan las propiedades, y deduciones todas: y se descubren los accidentales, y la diuision de los generos, y porque a ella se reduzen los fenecimientos de todos los tonos, pues todos fenecen en vt, re, mi, o fa; y los demas se reduzen a estos: y en ella concurren todas las razones que la musica encierra en si que son tres; razon de consonancia perfecta parcial, razon de consonancia imperfecta, y razon de falsa. Razon de consonancia perfecta parcial concurre en ella, porque de ella se produze la quinta (consonancia tambien perfecta parcial segun los practicos) y de estas dos la octaua consonancia perfectissima:.
Yten que todas las obras esta[n] escritas en este libro ni mas ni menos de como fueron compuestas por sus autores: segun que ellos quisiero[n]. tocando algunas falsas por razon del contrapunto. Y assi queda para cada vno dalle aquella gracia o glosa que entendera: y mejor le parecera.
[…] ciertamente que los practicos la tratamos a la quarta como monstruo en la musica, porque ya la tratamos como consonancia a la parte superior, ya como disonancia a la inferior, ya como perfecta en los fenecimientos, ya como imperfecta da[n]do dos, tres, quatro, y mas immediatas cubiertas; ya ni como vno ni como otro, que es quando la prohibimos en dos vozes: ella es consonancia monstruosa, y como dixe al principio es el totum continens de la musica, pues en ella concurren todas las razones, de consonancia perfecta parcial, de imperfecta, y de la falsa, y con razon los antiguos tanto la respetaron, y reuerenciaron, por lo qual es bien que sepan todos lo que se deue estimar, y que no la tengan en tan mala reputacion como la tienen. Demas de esta razon les quiero dar otra por donde se prueua que es consonancia: Bien saben todos, y en particular los cantollanistas, que el diapasson se compone de dos especies, vna mayor y otro menor, que son diapenthe y diathesaron, de quien vamos tratando, y pues que saben esto, es bien que sepan otra curiosidad, y es: en quantas maneras se compone el diapasson? digo pues que en diez maneras se compone, y en todas diez, se compone de dos especies semejantes, & eiusde[m] prope naturae, vna mayor y otra menor:.
[…] te advierto ante todas cosas, de vna libertad, y falsa que ay en este libro, que es en la que mas se puede reparar, y son dos quartas; vna en pos de otra con las dos vozes inferiores; vna al thesis, y otra al arsis; vna igual, y otra mayor, y tritonica: y aunque (razon de glosa) podian passar muy bien, sin otra mas razon: porque en ella caben estas y otras mas licencias; pero no quiero que solamente passe por glosa, sino que tambien se considere como texto, que es lo llano. Y para esto as de suponer que esta especie de Diathesaron, fue tenida en grande veneracio[n] de los antiguos, y lo es de todos los especulatiuos, antiguos y modernos: Y con grande razon por cierto; porq[ue] es el totum co[n]tinens la de [f9r] la misma, porque contiene en si todas las vozes musicales, vt, re, mi, fa, sol, la; porque quien dize, vt, re, mi, entona tambien fa sol la, y por el co[n]trario quien entona estas tres vltimas; entona tambien, qua[n]titatiue, las tres primeras. Y porque repetida, se hallan las propiedades, y deduciones todas: y se descubren los accidentales, y la diuision de los generos, y porque a ella se reduzen los fenecimientos de todos los tonos, pues todos fenecen en vt, re, mi, o fa; y los demas se reduzen a estos: y en ella concurren todas las razones que la musica encierra en si que son tres; razon de consonancia perfecta parcial, razon de consonancia imperfecta, y razon de falsa. Razon de consonancia perfecta parcial concurre en ella, porque de ella se produze la quinta (consonancia tambien perfecta parcial segun los practicos) y de estas dos la octaua consonancia perfectissima:.
Razon natural de falsa fundada en buena arithmetica la daran los practicos, los quales (juzgandola por tal como de hecho la juzgan) vsan de ella en los fenecimientos a la parte superior, in quibus magna desideratur perfectio, y es vna de las razones fortissimas que dan todos los que la juzgan por consonancia, para prouar que lo es, faltem imperfecta, y que no es falsa; por quanto en los fenecimientos no puede auer falsa cubierta en ellos; de donde se sigue por co[n]seqüencia infalible que no es falsa.
Boecio dize auer tres generos de hombres, / que en la Musica se exercita[n]. Unos tañen instrume[n] / tos, otros componen versos, y los terceros juzgan / la obra de los instrumentos, y la de los versos. To / do aquel que tañere instrumento, o cantare care / ciendo de la cierta intelligencia de los tales instru / mentos, o de las consonancias: sera dicho cantan / te, o tañente. Dize Andrea. El que tiene por pro / fessos en la Musica, si su entendimiento de la verda / dera intillegencia de ella caresce: aunque cante y / tanga bien, le negamos el nombre de musico. Esta / la sciencia de la Musica, testigo Augustino, sin el / vso de ella: y muchas vezes (segun vemos) donde / ay menor vso en el tañer de los instrumentos, y en el / cantar: ay mas ciencia, y mayor speculacio[n]. La li / gereza de los dedos en los q[ue] tañen, y la facilidad d[e]l / [fxxv] pronunciar los puntos en los que cantan: del vso, y / no del arte procede. A estos tales bien les conuie / ne el nombre de cantantes, y queda[n] bien pagados: / porque no passaron adelante. El segundo genero / de hombres que en este arte se exercitan son los poe / tas. Estos mas compone[n] por una lumbre natural, / o por distinto [sic, por instinto] de naturaleza: que por speculacion / de entendimiento. Este genero de hombres, dize / Boecio, que no deue gozar del nombre de musico. / Uerdad es, que el doctissimo Augustino entre los / musicos los cuenta: pues que entre la Musica tra / ta de poesia, como parte de Musica. Podemos de / zir, que el poeta no es musico artificial con Boecio: / y que es musico natural con Augustino. El terce / ro genero de hombres que en Musica tractan: es, / que tienen ciencia de juzgar entre las composicio / nes malas y buenas. Esto es proprio del arte de la / Musica: porque consiste en speculacion y razon.
[…] Todo lo que el cantor hiziere en / composicion y pronunciacion de canto menospre / ciada la razon: sera dicho canto inutil. Lo que el ca[n] / tor compone, y con la boz pronu[n]cia: primero ha de / estar en la pureza del entendimiento.
Musica inspectiua ò theorica, es vna sciencia que examina con el oydo (cuyo juizio suele estar escurescido) si no con el ingenio y razon, las vozes ò sones formados con instrumentos assi naturales cono artificales.
La [música] Theorica ò Inspectiva, se divide en Musica harmonica, y en Musica rithmica. Musica harmonica (como dixe) es vna sciencia que con el sentido y con la razon pesa y tantea las differencias de los sones graues y agudos; y es vna facultad y virtud, que distingue y examina las differencias de los sonidos, segun el agudo y el graue, qual toda ella consiste en el buen orden de la harmonia instrumental: y considera y mira los sonidos que son buenos para la harmonia, desechando los que no son tales: y examina con riguroso juizio y parecer de la razon los espacios musicales, que nacen de sus mesmas variedades y mezclas, como son los tonos y semitonos; y tambien las consonancias, como es la diapente y la diapason, y las demas cosas que son necessarias à la tal Musica; y à que proporciones de numeros corresponden, cuyo vso enseña la Musica en su pratica, à la qual llaman Musica llana. En la qual, qualquiera es enseñado a formar boz conveniente à la harmonia; y moverla por los intervalos musicos, no reparando si gasta poco ò mucho tiempo en la pronunciacion de los sonidos, solo mirando que tanto los aya de subir ò baxar.
[...] Dizen, y digo, que ni el sentido sin la razon, ni la razon sin el sentido, podran hazer buen juyzio de qualquiera obgeto scientifico; todas vezes que estas dos partes estuuieren (p.309) vnidas y ayuntadas. Mas así como à hazer este juyzio en las cosas de la ciencia es necessario, que concurran estas dos cosas juntamente: assi tambien es menester, que quien quera [sic] juzgar alguna cosa tocante al Arte, tenga dos partes: primeramente que sea perito en las cosas de la ciencia (esto es de la especulacion) y segundariamente en las del Arte, que consiste en la pratica, es necessario que sepa componer algun tanto; porque jamas nadie podra derechamente juzgar aquella cosa que no conoce; antes forzosamente, no conociendola, conuiene juzgue mal. Tiene del impossible que sea justo el juyzio, si el juez no conoce lo que ha de juzgar [cita a Arsitóteles y Galeno]. Assi el Musico Pratico sin la especulativa, ó verdaderamente el Especulativo sin la pratica, podrà siempre hazer errores, y hazer falso juyzio de las cosas de la Musica: como vemos de Boecio, el qual escriuio muchas cosas contrarias de lo que son, por no auer tenido conocimiento de la Pratica, si no de la sola Theoria; y assi no pudo llegar à perfecto conocimiento de lo que pretendiò escriuir. [cita a Guido Aretino y a otros]
[...] Dizen, y digo, que ni el sentido sin la razon, ni la razon sin el sentido, podran hazer buen juyzio de qualquiera obgeto scientifico; todas vezes que estas dos partes estuuieren (p.309) vnidas y ayuntadas. Mas así como à hazer este juyzio en las cosas de la ciencia es necessario, que concurran estas dos cosas juntamente: assi tambien es menester, que quien quera [sic] juzgar alguna cosa tocante al Arte, tenga dos partes: primeramente que sea perito en las cosas de la ciencia (esto es de la especulacion) y segundariamente en las del Arte, que consiste en la pratica, es necessario que sepa componer algun tanto; porque jamas nadie podra derechamente juzgar aquella cosa que no conoce; antes forzosamente, no conociendola, conuiene juzgue mal. Tiene del impossible que sea justo el juyzio, si el juez no conoce lo que ha de juzgar [cita a Arsitóteles y Galeno]. Assi el Musico Pratico sin la especulativa, ó verdaderamente el Especulativo sin la pratica, podrà siempre hazer errores, y hazer falso juyzio de las cosas de la Musica: como vemos de Boecio, el qual escriuio muchas cosas contrarias de lo que son, por no auer tenido conocimiento de la Pratica, si no de la sola Theoria; y assi no pudo llegar à perfecto conocimiento de lo que pretendiò escriuir. [cita a Guido Aretino y a otros]
Que la Quarta sea co[n]sonancia, se puede prouar en quatro maneras: primeramente por razones, segundariamente por mutança de interualo; despues por authoridades de los Musicos antiguos, y algunos modernos; y finalmente por exemplos. Prueuase primeramente por razon en esta manera. Aquel interualo que en vna composicion harmonica se oye consonar perfetamente, puesto de por si, en ninguna manera puede ser dissonante. Siendo pues la Quarta de tal naturaleza, que acompaña con la Quinta, ò con la Tercera, assi à tres bozes, en vna harmonica composicion, haze suaue y harmoniosa la composicion; sigue que sea tmabine consonante fuera de composicion, es a sauer quando esta puesta sola, y sin arrimo de otra consonancia. El cargo de tal razon, es manifiesto por su contrario, es a saber por las dissonantes, que son Segunda y Septima, con sus compuestas. Las quales no siendo en la composicion por ninguna manera consonantes, son tambien de la misma naturaleza fuera de composicion; porque no se sufre Segunda descubierta, ni tampoco Septima assi [...]
Mas porque los exemplos valen mas acerca de los incredules, que las razones ni las authoridades; pero es menester venir à la tercera [=cuarta] prueua [de la cuarta como consonancia]. Digo pues que siempre, quando la tal Consonancia se reduziere [sic] en effeto en su verdadera proporcion ò interualo, cada qual de buen juyzio dirà, que verdaderamente es consona[n]te: como todo hombre de por si puede siempe hazer la prueba templando vn laud ò vihuela perfetamente: porque entre la cuerda que llaman el Baxo, y aquella q[ue] no nombran el Bordon, y entre esta y el Tenor, oyra[n] la Quarta hazer marauillosa harmonia. Y si todavia alguno quiera dezir y porfiar que es dissonante, esto acontecera porque quiere seguir el vso de los Praticos: mas en realidad de verdad no es assi. Que (dexando à parte el vso) quando de veras se reduzga a oyrla sobre de vn instrumento, particularmente sobre de vn Organo, ten[i]endo baxadas las dos teclas, sin alçarlas por espacio a lo menos de vna Ave Maria, para poder considerar mejor lo que es, para mi entiendo dirà lo contrario: y conocerà que la Quarta es mas dulce, suaue, y mas harmoniosa, que no lo es que la Sexta Mayor; la qual es mas áspera, mas dissonante y mas tosca, aunque esta recebida entre las Consonancias. Y esto (bueluo a dezir) se puede conocer con el tener firmes las bozes por mucho espacio, como es a lo memos por el tiempo de ocho ò diez compases: lo qual mejor se hara en el Organo que en otros instrumentos, ni que à bozes.
[...] soy mas que cierto, que poco aprouecha razon contra el vso: y porque ya mucho tiempo ha que está puesta [la cuarta] pen composicion como dissonante, y el oydo de los Praticos ya està hecho à ello, por esto, parece sea menester seguir esta opinión tal como es, sino en el parecer, a lo menos en las obras; pues dizen,m Occupanti conceditur locus &c. Y pues sabemos tambien que la costumbre tiene fuerça de ley: Cap. Cum tanto de consuetudine &c. [Zarlino] Buelvo dezir que todo esto se ha dicho para satisfazer à los amigos de la verdad, mo dejando por esto de decir para los de mas, como y con regla se ponga en Composicion la Quarta como disonante [...].
El Septimo Tono se forma con la Especie de la Diapason G y g , harmonicamente diuidida : ò diremos, que se compone de la quarta Especie de la Diapente, que comiença desde G solreut subiendo hasta D lasolre; y de la primera Especie de la Diathessaron puesta arriba, la qual se halla entre Dlasolre y G solreut [...] Sus principios , conforme razon, seran G solreut y D lasolre, con sus octauas: no obstante que auezes se comience en Csolfaut, por causa de la entonacion de su Psalmo: La cuerda final es G.
Razon natural de falsa fundada en buena arithmetica la daran los practicos, los quales (juzgandola por tal como de hecho la juzgan) vsan de ella en los fenecimientos a la parte superior, in quibus magna desideratur perfectio, y es vna de las razones fortissimas que dan todos los que la juzgan por consonancia, para prouar que lo es, faltem imperfecta, y que no es falsa; por quanto en los fenecimientos no puede auer falsa cubierta en ellos; de donde se sigue por co[n]seqüencia infalible que no es falsa.
[…] ciertamente que los practicos la tratamos a la quarta como monstruo en la musica, porque ya la tratamos como consonancia a la parte superior, ya como disonancia a la inferior, ya como perfecta en los fenecimientos, ya como imperfecta da[n]do dos, tres, quatro, y mas immediatas cubiertas; ya ni como vno ni como otro, que es quando la prohibimos en dos vozes: ella es consonancia monstruosa, y como dixe al principio es el totum continens de la musica, pues en ella concurren todas las razones, de consonancia perfecta parcial, de imperfecta, y de la falsa, y con razon los antiguos tanto la respetaron, y reuerenciaron, por lo qual es bien que sepan todos lo que se deue estimar, y que no la tengan en tan mala reputacion como la tienen. Demas de esta razon les quiero dar otra por donde se prueua que es consonancia: Bien saben todos, y en particular los cantollanistas, que el diapasson se compone de dos especies, vna mayor y otro menor, que son diapenthe y diathesaron, de quien vamos tratando, y pues que saben esto, es bien que sepan otra curiosidad, y es: en quantas maneras se compone el diapasson? digo pues que en diez maneras se compone, y en todas diez, se compone de dos especies semejantes, & eiusde[m] prope naturae, vna mayor y otra menor:.
[…] te advierto ante todas cosas, de vna libertad, y falsa que ay en este libro, que es en la que mas se puede reparar, y son dos quartas; vna en pos de otra con las dos vozes inferiores; vna al thesis, y otra al arsis; vna igual, y otra mayor, y tritonica: y aunque (razon de glosa) podian passar muy bien, sin otra mas razon: porque en ella caben estas y otras mas licencias; pero no quiero que solamente passe por glosa, sino que tambien se considere como texto, que es lo llano. Y para esto as de suponer que esta especie de Diathesaron, fue tenida en grande veneracio[n] de los antiguos, y lo es de todos los especulatiuos, antiguos y modernos: Y con grande razon por cierto; porq[ue] es el totum co[n]tinens la de [f9r] la misma, porque contiene en si todas las vozes musicales, vt, re, mi, fa, sol, la; porque quien dize, vt, re, mi, entona tambien fa sol la, y por el co[n]trario quien entona estas tres vltimas; entona tambien, qua[n]titatiue, las tres primeras. Y porque repetida, se hallan las propiedades, y deduciones todas: y se descubren los accidentales, y la diuision de los generos, y porque a ella se reduzen los fenecimientos de todos los tonos, pues todos fenecen en vt, re, mi, o fa; y los demas se reduzen a estos: y en ella concurren todas las razones que la musica encierra en si que son tres; razon de consonancia perfecta parcial, razon de consonancia imperfecta, y razon de falsa. Razon de consonancia perfecta parcial concurre en ella, porque de ella se produze la quinta (consonancia tambien perfecta parcial segun los practicos) y de estas dos la octaua consonancia perfectissima:.
Cláusula: El periodo o razón entera en la escritura, que contiene en sí entero sentido, sin que se deje palabra otra ninguna. Clausular, terminar la razón.
Presquediton, plusque diapenté, ou moindre settieme, est de quatre tons et deus demiz tons petiz, comme, re, fa : conduit par, re, mi, fa, sol, re, mi, fa. depuis D, sol, re, jusques à, C, sol, fa, ut.
Presquediton, ou Demiditon, sinifie une tierce imparfette, contenant un ton, et un demi ton petit, comme, re, fa, ou, mi, sol, propre à une autre sorte de Musique nommee Chromatique.
Diapason (parfette consonance comparee à la forme ovale) est l'octave ou la double, composee de Diatessaron et Diapenté, en deus sortes, l'une (comme il sera besoin que je die plus à plein) en proporcion Harmonique, d'un Diapenté en bas et Diatessaron en haut, comme depuis A, re, jusques à, E, la, mi, un Diapenté re, la : et depuis E, la, mi, jusques à, A, la, mi, re, un Diatessaron, mi, la : changeant, la, de E, la, mi, [p18] en mi. L'autre est proporcionnee Aritmetiquement, assavoir d'un Diatessaron en bas, et un Diapenté en haut, comme depuis A, re, jusques à D, sol, re : Diatessaron, re, sol, et Diapenté, depuis D, sol, re, jusques à A, la, mi, re, sonnant re, la, pour change du sol, de D, sol, re, en re.
Presquediton, plusque diapenté, ou moindre settieme, est de quatre tons et deus demiz tons petiz, comme, re, fa : conduit par, re, mi, fa, sol, re, mi, fa. depuis D, sol, re, jusques à, C, sol, fa, ut.