oreille

Full reference: 

Mersenne, Harmonie universelle contenant la pratique et la théorie d, 1636, Inst, IV, 5, p196

Volume: 
Inst, IV, 5,
Page: 
196
Body: 

[…] l’on n’entend ordinairement ces quatre sons [de la résonance de la plus grosse corde de la viole] que lors qu’on touche les grosses chordes, car la chanterelle & les deux ou trois autres qui suiuent sur le Luth, ne font pas si sensiblement ces interualle [8ve, 1Oème M, , 12ème] que l’on comprend mieux sur la Viole que sur le Luth, à raison que le trait d’archet dure plus long-temps, & donne plus de temps à l’ oreille & à l’imagination pour les remarquer, que ne fait le son du Luth qui cesse beaucoup plustost.