Ie viens maintenant au temperament de l'Epinette, qui est semblable à celuy de l'orgue, aussi a-elle autant de touches sur chaque octaue comme l'orgue ; c'est pourquoy ie diray seulement icy que l'on doit approcher le plus pres que l'on peut de la verité de chaque consonance, à laquelle butte toute sorte de temperament, car ie reserue le reste pour le traicté des Orgues.